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Energie et Psychologie
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  • un alliage de techniques énergétiques et de psychologie ayant pour but de réactiver le potentiel de chacun , de s'aimer et de s'accepter inconditionnellement sans attente... juste en etant qui nous sommes . Reiki initiations et soins, coaching , etc
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29 avril 2013

GUERIR SON PASSE (pourquoi n'ose t'on pas?)

3 fausses croyances à  ce sujet
Première fausse croyance : “Je n’ai pas de blessures”.

Bien sûr, c’est faux, tout le monde a des blessures. La politique de l’autruche ne fonctionne pas longtemps. Non seulement le déni des blessures ne les rend pas inactives, mais au contraire, avec le temps, les blessures qui ont été ignorées peuvent remontées à la surface et s’activer pour devenir de plus en plus virulentes pour vous réveiller.

Et même si, en ce moment, votre vie est plutôt agréable, sachez qu’il y a un immense gisement d’Amour enfoui au coeur de vos blessures. Il vous sera difficile d’améliorer de façon significative votre Vie et de réaliser vos rêves tant que restera enfoui en Vous votre trésor. Car même lorsque vos blessures ne vous rendent pas la Vie infernale (c’est-à-dire quand vos blessures ne sont pas activées), elles limitent sérieusement les possibilités d’évolution de votre expérience de Vie.

À l’origine de cette fausse croyance est l’ignorance. La plupart des gens ne savent même pas ce qu’est une blessure du passé.

 Une Solution : Reconnaitre que vous avez des blessures est une des toutes premières étapes pour pouvoir vous en libérer, mais c’est aussi une des plus simples puisqu’il suffit de vous informer au sujet des blessures.

 

Deuxième fausse croyance : “Soigner ses blessures, ce n’est pas très important”.

Cette fausse croyance est redoutable, car même si vous avez admis que vous avez quelques blessures du passé qui vous limitent, vous ne ferez rien pour vous libérer du poids de ces blessures.

Souvent, lorsque j’aborde le sujet de la guérison des blessures du passé, les personnes me répondent qu’elles le feront plus tard, quand elles auront le temps ou l’argent. Pourtant, qu’est-ce qui peut être plus important que d’améliorer significativement la qualité de votre vie et de votre bien-être ?

C’est comme reporter un rendez-vous chez le dentiste : plus vous prenez rendez-vous tard, plus l’opération risque d’être longue, douloureuse ou couteuse. Et dans tous les cas, vous souffrez plus longtemps en attendant ce rendez-vous.

Les blessures du passé sont un peu comme les cancers, elles ont tendance à se développer même si vous ne souffrez pas pendant des années. Et quand elles se révèlent, il est bien plus délicat de s’en libérer que si elles avaient été prises dès le début.

 

Une Solution : Vous informer au sujet des blessures ne suffit pas, car cela ne concerne que le plan intellectuel. Comprendre à quel point vous libérer de vos blessures du passé peut transformer votre vie ne suffit pas non plus si cette compréhension ne passe que par la tête. Ce qu’il vous faut, c’est réaliser l’impact que la guérison de vos blessures va avoir dans votre vie.

Me croire sur parole ne peut pas faire cela, c’est l’expérience de la réalité, c’est à dire du processus de libération des blessures lui-même qui peut vous apporter cette prise de  conscience.

Troisième fausse croyance : “Soigner ses blessures, cela fait souffrir”.

Cette troisième fausse croyance arrive en dernier, car même

 si vous reconnaissez que vous portez en vous des blessures du passé,

même si vous reconnaissez qu’elles vous affectent et par conséquent vous avez envie de les soigner,

vous risquez de ne pas le faire si vous croyez que pour vous libérer des blessures, il est nécessaire de souffrir.

Cette fausse croyance est tout à fait compréhensible si vous faites le parallèle entre une blessure du passé et une blessure physique. À l’origine d’une blessure physique, il y a un impact, une douleur est des dommages au corps. Un processus naturel de cicatrisation se met alors en place. Il vise à la fois à soigner la blessure, mais aussi à la protéger. Lorsque la blessure physique est trop profonde, le mécanisme naturel de guérison n’est plus suffisant, la blessure cicatrise comme elle peut à la surface, mais la blessure reste en profondeur. Pour la soigner, il faut opérer et donc rouvrir la plaie.

Il en est de même avec une blessure du passé : un mécanisme (appelé “Masque”) visant à éviter la douleur qui a causé la blessure s’est construit. Mais pour pouvoir soigner la blessure en profondeur, il va falloir passer au travers de ce mécanisme de défense. La peur de soigner sa blessure vient donc directement de ce mécanisme de défense : tout ce qui tente d’approcher d’un peu trop près de la blessure risque d’être pris comme une source de douleur possible.

Et il est vrai que certaines thérapies confortent cette croyance puisqu’elles sont basées sur le fait de retourner dans le passé pour revivre l’expérience qui a causé la blessure. Ce qui est très vite assimilé à revivre la douleur de la blessure, puisque cette expérience était justement douloureuse. Alors, pas étonnant comme pour l’exemple des personnes qui retardent leurs rendez-vous chez le dentiste, tant de personnes ne soient pas pressées d’aller se libérer de blessures qui les affectent tous les jours (mais d’une souffrance à laquelle elles ont fini par s’habituer) pour éviter d’aller à la rencontre d’une douleur qu’elle croit bien pire.

Bien entendu, c’est le contraire qui est vrai : ne pas soigner ses blessures est un moyen très sûr pour continuer à souffrir (de plus en plus). Les thérapies basées sur l’Être Créateur ne vous font pas souffrir, elle vous soulage et vous libère. Car souffrir à nouveau n’est pas libérateur,  ce qui l’est, c’est de mettre plus de conscience et de tendresse sur cette blessure du passé. Ce qui guérit, ce n’est pas de retourner dans le passé, c’est de rester présente avec ce qui émerge du passé, d’y faire face et de constater que lorsque les pensées, images et émotions du passé sont observées et accueillis dans l’instant présent, il n’y a plus de souffrance, mais une libération.

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